— Bonjour à tous et bienvenue dans cette nouvelle chronique !

— Chalut Mag’, Chalut les Chcribouillards !

— Tu manges quoi, là, Gaëlle ? On comprend à peine ce que tu dis…

— Du chocolat ! Les cloches sont passées un peu en avance cette année.

— Les cloches ? Tu veux dire le lapin de Pâques ?

— Non, les cloches. 

— Oui, enfin, chacun ses petites représentations : les lapins, les cloches, les coucous, les poules… Du moment qu’il y a des œufs et du chocolat, on sait à quelle époque de l’année on est !

— Dès l’instant, surtout, qu’on est là pour les manger !

— Gourmande, va ! Tu sais que, dans certaines régions, on ne fait que les peindre et les offrir.

— Moi, je préfère le moment où les cloches passent dans le jardin et sèment des œufs chocolatés qu’il faut aller retrouver et manger avant qu’ils fondent !

— Oui, les cloches, les poules, les coucous… ou les LAPINS !

— Tu m’agaces avec ton lapin, moi, je le préfère en civet, là ! Et d’ailleurs, les lapins, ça ne pond pas d’œufs !

— A priori, les cloches non plus…

— Bon, ça va, fais pas ta maligne ! Tiens ! Ça me donne une idée, si on proposait aux scribouillards de réinventer leur symbole de Pâques ?

— Génial ! Peut-être que j’adopterai l’un d’entre eux, cette année ! Chers tous, vous devrez écrire un petit essai dans lequel vous imaginerez une nouvelle mascotte pour Pâques, son histoire et comment les enfants et les plus grands retrouvent son chocolat chaque année. Car oui, trois éléments de cette fête ne doivent pas bouger : Pâques, le chocolat et les enfants !

— À vos plumes, prêts, (a)musez-nous !


shutterstock_134639801— Dis Gaëlle, tu me donnes un peu de chocolat ?

— Mais… c’est-à-dire que… il ne m’en reste presque plus…

— Tes cloches repasseront certainement demain ! S’il te plaît… tu m’as fait envie…

— Bon, OK, mais déguste-le bien alors, en attendant ton lapin… ou la nouvelle mascotte des scribouillards !