— Bonjour à tous !
— Salut, Mag’ ! Salut, les scribouillards !
— Ce dimanche, je me sens regonflée à bloc !
— Ah oui ?
— Oui, grâce à vous tous, l’inspiration est revenue, j’ai pu rédiger et améliorer le dialogue de mon roman !
— Génial ! Je suis sûre que mes conseils t’ont été d’une grande aide également.
* Gaëlle fait un clin d’œil, toute fière d’elle-même*
— Cela va de soi, Gaëlle.
* Magali lui adresse un sourire indulgent et reprend : *
— Et puis, là, avec la fête du Travail, le long week-end, je me sens reposée, revigorée.
— Oh ! Ne me parle pas de cette fête ! Tu avoueras que c’est incongru de ne pas travailler le jour de la fête du Travail !
— Je n’y avais jamais réfléchi ! En même temps, je trouve ça plutôt agréable d’avoir un jour de congé.
— Soit. Mais en profites-tu pour te poser des questions sur ton travail et tes passions ?
— Heu… non, pas vraiment !
— Eh bien, moi, je réfléchis à mon futur, à mes opportunités professionnelles, à ma carrière, à ce que j’aime faire et pourquoi.
— Je suis admirative, je ne te savais pas si appliquée.
*Magali se demande bien quelle mouche a piqué Gaëlle, aujourd’hui.*
— D’ailleurs, je me suis demandé : si je quittais tout pour l’écriture, quelle auteure serais-je ?
— Et ?
— Je n’ai pas encore entièrement répondu à cette question. Je me demande ce que nos scribouillards en diraient !
— Et bien, ça, c’est une idée ! Chers participants, nous vous invitons à écrire entre une phrase et un court texte en complétant : « Si j’étais un écrivain/auteur, je serais… » . Vous pouvez choisir de vous identifier à un auteur célèbre ou nous dire comment vous travailleriez, ce que ça vous apporterait, etc.
— Et pour ceux qui ont déjà la chance d’avoir été publiés, expliquez-nous comment vous le vivez et comment vous aimeriez progresser encore davantage dans cette voie !
— Au travail !
— Tu es sérieuse, Gaëlle, tu as vraiment passé tout ton vendredi à réfléchir à ton avenir professionnel ?
— Pour être honnête, non, pas entièrement… J’ai surtout passé beaucoup de temps à corriger mon roman pour l’envoyer à une maison d’édition.
— D’où ces questionnements ! Je comprends mieux…
— Oui, c’est génial, mais ça fiche la frousse.
— Je suis sûre que ton roman va cartonner ! Qui sait, nous en parlerons certainement bientôt sur le blog d’Ecrire-un-Roman !
— Hahaha ! Je croise les doigts !
Si je n’étais pas brune je serais blonde.
Si je n’étais pas une fille je serais un garçon.
Si je n’aimais pas autant le chocolat je n’en mangerais pas.
Si j’étais un animal je serais un oiseau.
Mais si je vivais dans un monde de si, je ne pourrais m’épanouir dans le monde d’aujourd’hui.
Intéressante version, Chagltr. Merci !
Si j’étais un écrivain, je ne m’appellerais pas Adrienne, mais Colette. Je raconterais comment mon père m’a appris à déguster du vin et non « de l’eau rougie », je dirais mon amour des chats, des chiens, je décrirais les fleurs et les fruits de mon jardin. Je raconterais Claudine à l’école et l’odeur de l’encre, de la craie, des couloirs sombres où sont accrochés les manteaux de pluie. Je dirais le blé en herbe et les vrilles de la vigne.
Merci Adrienne, il suffit donc de s’y mettre 🙂
Tout ça a déjà été fait par Colette 😉
(Je pensais qu’ici on recevait un commentaire sur ce qui va/ne va pas dans nos écrits?)
Oui en tout cas nous essayons, mais je n’avais rien à dire de négatif sur ton petit texte 🙂 Tu as parfaitement réussi cet exercice ! Ravie que Colette n’a pas attendue pour raconter son histoire 🙂
Bonsoir !
Avec quelques allitérations !
Si j’étais un écrivain/auteur, je serais, peut-être !
-Assurément assez assuré
-De pouvoir prévoir préciser
-Avec propension proposer
-Une genèse géniale gobergée
-Pour lecture légitimée et léguée
-A tous transmise toujours sans trembler
-Ici,idéal illogique « inculte »
-Exercice exécrable à exclure
-L’écrivain ébaucheur s’ébaudit
-A écarter, empêtré à encaquer !
Bon, c’est moyen, je voulais faire encore quelque chose, alors ne soyez pas trop surprises de cette envolée un peu idiote ! A l’avance merci !
Ah si j’étais un écrivain, je serai capitaine,
d’un voiliers aux lignes bleues sur fond blanc, survolé par ces plumes dorées.
Je partirais en voyage et je jetterai mon encre sur les côtes de mes rêves et souvenirs,
laissant les villes en bouteille à ceux que leur monde effraie,
parcourant les recoins sombres ou resplendissant d’un monde dont moi seul fixe les limites.
Non, je vous fais marcher !
Si j’étais écrivains je serai un de ceux qui n’écrivent que pour eux même.
Un de ceux qui écrivent des lettres passionnées mais qui hésitent à les envoyer.
Un de ceux qui laissent parler leur cœur, leurs tripes, et tant pis si ils se répètent, tant pis si c’est vain.
Car si je devais devenir écrivain, ce serait autant par amour des mots que par amour, tout court.
Le reste du temps l’écriture me parait futile comparée aux actes.
Égoïste que je suis, l’écriture ne dessert que mes maux plus que mes joies, elle ne divertit pas.
A part peut-être pour vous, cette fois.
Je ne m’y attendais pas ^^ L’écriture est ce qu’on veut qu’elle soit pour soi 😉
Dois-je retenir l’effet de surprise comme un point positif ? ^^
Au delà même d’être ce que qu’on veut qu’elle soit comme tu le dis Gaëlle,,
l’écriture pour moi est ce que j’ai BESOIN qu’elle soit, je tiens à cette nuance.
En ces moments, les mots sortent d’eux même, ils sont vrais, puissant et justes.
Mais ne te méprend pas, cette vision personnelle, passionnée et mélancolique que j’ai de l’écriture
ne m’empêche pas de m’en divertir et d’en jouer, mais plus rarement.
( d’ailleurs, superbe site que le votre amis écrivains )
Oui très positif, c’est bien de surprendre le lecteur !
Ton petit texte est un bel exemple de jeu avec les mots, j’ai vraiment aimé et les deux facettes !
Ravie que ecrire-un-roman te plaise, n’hésite pas à venir t’inscrire sur le forum (si ce n’est pas encore le cas) et à participer, commenter les articles, c’est toujours un plaisir !
Bonjour !
Si j’étais un écrivain/auteur,je serais peut-être aussi un romancier !
J’ai plein d’idées, pas toutes de moi, je l’avoue. Mais il y en a beaucoup, c’est pourquoi, je note les titres sur des petits papiers pour les mettre dans un chapeau clac, le même que celui de Gaëlle . Je l’ai récupéré au grenier ! Je tirerais ensuite au sort ! J’ai fait la liste.
( Aujourd’hui je …… vie de folie ) ( sexygaga vampire ) (Vous les dieux ) ( y’a de l’orage dans l’air ) ( lettre de réclamation, grêve ) et puis, ( mots valise ) ( un mot supprimé dans le dictionnaire ) ( les poubelles ) ( joyeux Noël ) ( réveillons nos muses ) (allitérations ) ( abécédaire ) ( coup de foudre ) ( je tu elles ) ( on est pas cloches ) ( à la loupe ) … AH ! je n’ai plus de papier, bon, ça suffit !
Je vais tirer au sort trois titres et après, je pourrais me demander lequel des trois je vais prendre ! Mais,on en est pas là !
C’est dommage, si j’avais eu plus de papiers !
Très sympa Jacandre ! ^^
« Avec des « si », on mettrait Paris dans une bouteille ».
Le conditionnel. Ce n’est pas ma conjugaison préférée. Tout d’abord, parce que la conjugaison et l’orthographe ne sont pas réellement mes meilleurs amis et puis parce que ce ne sont pas les « si » qui nous font avancer. Mais ceci n’est que mon point de vue. Les « si » sont pour les personnes qui souhaitent avoir quelque chose, mais pour une raison que je ne comprends pas, ils restent assit sur leurs fauteuils. Moi, je préfère les rêves. Vous allez me demander quelle différence il y a ? La réponse est toute simple. Les rêves sont le reflet de ce que nous voulons faire, mais aussi de ce dont nous sommes capables de faire. C’est beaucoup plus qu’un souhait, c’est une envie, une volonté, un désir. Et c’est ça qui nous fait avancer.
Je rêve d’être un jour publié. Cela arrive bien à d’autres, alors pourquoi pas à moi. Avec du travail, du temps et de l’envie, je pense que c’est possible. A ce moment-là, je serai un écrivain auteur. Célèbre ou non, je resterai proche de ma famille, mes amis. Fidèle à mes passions, mes loisirs et mes ambitions. Ils sont la source de mon inspiration. Sans eux, je perdrais mon envie d’écrire. Je continuerai à passer des heures travailler mes écrits et à me battre contre les fautes d’orthographe qui les affaiblit. Je vivrais ma vie à fond en profitant des bons moments et des opportunités. En ne gardant que le meilleur et le positif. J’apprendrai de mes erreurs pour m’enrichire (humainement parlant) et améliorer le négatif.
bref, je resterai celle que je suis aujourd’hui. Pourquoi changer son comportement ou même son mode de vie quand on sait que c’est grâce à ça que l’on a atteint ces objectifs.
C’est bien écrit et agréable à lire. La consigne n’est pas parfaitement respectée puisqu’il fallait démarrée par « Si j’étais un écrivain/auteur, je serais … », mais le fond de ce qu’on recherche est présent. Bravo.
Avec des « si », on mettrait Paris dans une bouteille, dit-on.
Mais sans les « si », on ne commencerait rien, on ne prendrait pas le moindre risque.
Alors, si je me lançai… ?
Oui ! Il faut se lancer !
Sur un bout de papier, dans un carnet à spirales, sur l’ordi ou un post-it.
De fil en aiguille, les petits ruisseaux de mots formeront un torrent qui, gonflant encore, se jettera dans la mer d’une nouvelle ou l’océan d’un roman.
Et si… ? Si un éditeur dit oui, alors cette fameuse bouteille où l’on a enfermé Paris sera débouchée ! Pour fêter ça, trépignant comme un gosse au matin de Noël, sensations inénarrables !
Oui, il faut croire en les « si »…
Très joli Anne, mais si justement tu y arrivais, quelle auteur serais-tu?
Si j’étais un écrivain auteur
Sonnerait alors mon heure
Car dans le plus heureux
De mes doux vœux
J’écrirai mes mémoires
Puis m’endormirait tel un loir…
Joli !!! Bravo, nos scribouillards sont poètes ce soir !
Bonsoir !
— Si j’étais un écrivain/auteur, je serais surpris
— De le devenir,je ne suis qu’un scribouillard ravis!
— Enchanté même de s’amuser avec les jeux de mots
— Imaginer une histoire, une fiction peut-être beau!
— Nos « invocatrices »de textes,les plumes et muses nous invitent
— A faire chauffer nos pauvres cerveaux à degrés critiques!
— Mais nous ne sommes pas des esclaves,ni débiles,ni fragiles!
— Si l’on voulait on pourrait devenir auteurs futiles !
Mais « La futilité des gens sérieux vaut le sérieux des gens futiles. » de Louis Scutenaire 😉
Si j’étais un écrivais auteur je ne serais pas spécialement célèbre.
Moi j’écrirai n’importe où
Le bleu de mes mots doux
Sur des bouts de papier
D’enveloppes déchirées
L’important est de dire
Raison ou bien délires
Et qu’importe le support
Puisque les mots sont trésors
Dans le sable, la buée
La neige immaculée
Les paroles éphémères
S’évanouissent dans l’air
Sur le blanc du papier
Sur des feuilles de cahier
Moi je remplirai des pages
En futur héritage
Ce qui compte c’est l’envie
De dérouler la vie
Ce qui orne ses pensées
Et qui veut exister
J’écrirai sur mon clavier
Sur ma clé USB
Il faut juste ressentir
Un infini plaisir.
Waouw ! Joli poème, bravo ! Ton texte paraît si évident dans le fond. Merci pour cette agréable lecture Andréa !
Merci ! Ça me fait plaisir d’avoir un avis !
Je confirme l’avis de Magali c’est top ! Je n’aurais pas pu trouver et faire mieux même en cherchant des heures ! 😉
Merci vraiment. ..!
Bonjour !
Si j’étais un écrivain/auteur, je serais naturellement heureux d’avoir réussi dans ce domaine si particulier. Je serais l’auteur de mes
pensées,de mes délires,de mes rêves ! Je serais ravis que des gens de toute nature lisent et jugent des histoires bonnes ou « presque mauvaises » toutes sorties de mon imagination .Mais, ça c’est du « délire » car,même avec les conseils d’Eric ,de Magali et de Gaëlle, a qui je dis merci ! je suis un peu découragé devant l’énormité du travail à faire, de plus j’ai beaucoup d’occupations et
je n’aurais que 85 ans,mon épouse 90 .Mais tout va bien on se soutien mutuellement . En tout cas,merci à vous « ma plume ma muse » .
Ahah ! Merci Jacandre ! Je suis certaine que tu peux réussir ! 😉
Mais tu es déjà l’auteur de tes pensées, tes délires et de tes rêves non? Tu as déjà parcouru un bout de chemin 🙂 il faut persévérer comme tu le fais si bien avec Ma Plume Ma Muse.